Où Gabrielle lève les yeux...



Un mur où poser ses avant-bras pour mieux s'offrir.
Un mur pour étouffer ses soupirs, dissimuler son plaisir.
Un mur que l'on griffe avec délice, où l'on s'abîme, où l'on s'oublie.
Un mur que l'on embrasse toujours en levant les yeux.
Un mur pour tout abonnage...
Le mur qui surplombe le sabbat serait-il son seul avenir ?

Et en toutes choses, faut-il considérer la fin ?